Allah demande aux musulmans de prier pour Mahomet (Coran 33.56), ce qui signifie que Mahomet n'est pas au paradis d’Allah, sans quoi il serait inutile de prier pour lui. Les arguties musulmanes cherchant à justifier cette prière ne peuvent occulter le fait que Mahomet a lui-même reconnu ignorer quel serait son jugement et celui des autres musulmans (Coran 46.9 ; Boukhari Vol. 9, L. 87, Had. 145). Dès lors, puisque Mahomet n'a pas été capable d’assurer son propre salut, ni celui de ses disciples, comment les musulmans peuvent-ils espérer faire leur salut en le suivant ? De qui vaut-il mieux être le disciple : de Mahomet, un pécheur (Coran 48.2 ; 40.55 ; 47.19 ; 80.1-12 ; 18.110), mort et enterré, qui attend d'être jugé (Coran 46.9), ou de Jésus, que le Coran confesse être déjà au Paradis (Coran 4.158), et d’où Il revient pour le Jugement (Coran 4.159,172-174 ; Boukhari 3,43,656 ; 4,55,657 ; Ac 10.42) ?