«On confond la dangerosité du virus et les moyens qu’on a pour soigner ce virus»<br /><br />Yann Moix: «Nous sommes dans un délire collectif qui dure maintenant depuis un an. On a une maladie qui est relativement dangereuse, mais pas plus qu’une autre, avec une confusion qui est la suivante : si vous parlez, Cyril, chez vous, de dégât des eaux, si votre baignoire fait la taille d’un dé à coudre ou si votre baignoire fait l’équivalent de six piscines, vous imaginez bien qu’on confond la dangerosité du virus et les moyens qu’on a pour soigner ce virus, c’est la première chose. En relatif, il est dangereux. En absolu, il ne l’est pas. La deuxième chose, c’est que l’âge médian des morts est de 83 ans, qu’ensuite, 0,05% des gens dans le monde en meurent et que malgré tout le respect que je dois à tout le monde ici, je trouve inouï…»